Après la pluie
La fée aux ailes d’ange vient me souffler la nuit
Que les allégories des gens bronzés
Parlent de fesses blanches et d’un profond ennui
Que si la pluie tombe le soleil fut exposé
Aucune rancœur ne vont vers des barils remplis d’eau
Elles se situent vers les chaleurs absentes de tout la haut
Ce breuvage frais conviendrai a l’assoiffé
Le snobinard bavard veut être bien coiffé
Lorsque le lutin me préviens d’une belle ensoleillée
Je lui répond que de tout je n’ai plus rien à faire
Car la joie m’enivre en vue d’une belle journée
et qu’il est doux de travailler la terre
Quand la pluie tombe et que vient l’averse
Regardons les jours sombres d’un air hagard
Avec l’espoir de voir des après-midi en fête
Rions avant qu’il ne soit trop tard