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Muse

Rire d’une stupidité sans but, ce silence à l’heure du thé, à tes lèvres pendu.

Je bois donc un café noir,

en attendant de voir la nuit finir ; espérant te revoir,

esquisser ce doux sourire au lever ; revoir la douceur de vivre,

souffrir de ne plus croire en ce doux foyer.

Celui que nous avions construit sur une bâtisse noble, l’histoire de deux inconnus dont le chemin s’est croisés.

J’étais beau ce soir-là, toi, tu étais bourrée. Lorsque tu m’a toisé fort, alors ma main était coincée au creux.

Ce texto osé, reçu sur mon canapé, me feras trouver cette été, cette muse que je vais tant adorer ; oui je vais t’aimer ; te détester un peu… te quitter pour me prouver que j’ai le droit (mais quel maladroit)

Le droit d’être heureux.

Tout le monde mérite d’être heureux. Toi.

Je l’eu su, même si c’est loin de moi, le pire psychopathe, la vue de sa muse s’il l’a perd, il ne s’amusera plus, pour rire aux larmes à Saint-Raphaël, sous un coin de latte, du barbecue d’Augusta.

Plus qu’à se taire, tel cet honneur plus bas que terre à l’usure.

Si c’est sans moi, ô que non ma muse, ha c’est sûr, on ne m’y prendra plus je te l’assure.

Pour t’aimer encore, cet après-midi-là, dans le salon au plus proche de toi, avec prétention, retrouver le garçon qui quémande encore ton attention à l’heure du jaja.

Auteur : Etienne Leriche

Écrit le : 10/04/2022
Saluez cette douce prouesse, dégustez cette foutue maladresse, d’un amour immortel, pour toi ma Jess.

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